A la recherche .... ( suite de promenade )

Moran et moi venions d'arriver a Baya que déjà des regard de haine se tournèrent vers nous. Je ne fesais que de les ignorer, ayant l'habitude de ça. Je regardais tout autour de moi, à la recherhce d'un être mi-elf, mi-homme, mais il n'y avait que des hommes aux âmes aussi noires que leur visages.
Je traversais la rue, marchant droit devant moi, les poings serrés. J'atteignis enfin l'autr partie de la forêt, puis jetant un regard vers Moran :

- maintenant il faut le chercher ...

Moran avait perçu l'hostilité que leur manisfestaient les hommes. Il se redressa, et retira son capuchon, pour exiber fièrement ses oreilles pointues. Il n'avait pas beaucoup de temps à perdre, et cet échange de mouvements était assez lourd de sens pour qu'on les laisse passer leur chemin. Il n'avait pas de mépris particulier pour les humains, mais ils ne lui faisaient pas peur. Il s'arrangeait pour leur faire comprendre dès qu'il percevait leur haine. Il regardait autour de lui, à la recherche du mondre métis, mais, au vu de l'hatitude de ces humains, il songea qu'il devait avoir un charisme imprétionnant.Rien n'était plus honni par ce genre de personne que les "sang-mélé". Il observait avec attention tous ceux qu'il rencontrait, sans grand succès. Après une haure de recherches infructueuses, il demanda à Elendrile :

-Tu n'as vraiment aucune idée de l'endroit où il peut se trouver ?

Je secouais la tête négativement :

- La Tywas n'en savais pas grand chose sur la personne, elle a seulement exécuter ses ordres.

Je sortis du sentier, m'enfoncant un peu dans la forêt, fermant les yeux, me concentrant sur les etres qui se trouvaient dans les environs.

Moran savait que son attente allait bientôt prendre fin. Mais il estimait avoir suffisament attendu. Il fallait trouver son ennemi rapidement. En plus, il ne supportait plus les regards étranges que les humains lui lançaient. Il était déjà suffisement énervé comme ça, si cela continuait, il allait finir par ne plus réussir à se retenir. Il crispa ses machoires. Puis regarda Elendrile, qui fournissait une concentration intense. Il attendit que cela passe. Puis il lui demanda :

-As-tu appris quelque chose ?

J'ouvris brusquement les yeux, fxant une chose invisible, se trouvant plus profondément dans la forêt :
- il est là...

J'accélérais le pas, me dirigeant vers la présence que j'avais ressenti, il était d'une grande puissance, et sage... Malgrès ce qu'il avait ordonné, aucune trace de méchanceté se trouvait en lui...

Moran sentit qu'un trouble envahissait Elendrile. Il la suivit dans les profondeurs de la forêt tout en fixant de ses yeux noirs. Il fouillait du regard les alentours, à la recherche de l'inconnu qui avait brisé sa vie. Elendrile avançait de plus en plus vite. Il s'arrangea pour être à ses cotés. Il vit l'expression qu'affichait son visage : elle était légerement éffrayée et n'était pas sure d'elle, mais elle avait affermi sa determination. Il lui demanda :

-Il y a un problème ? Dis-moi !

Il s'était arrêté et la tenait par les épaules pour bien la fixer dans les yeux.

Je détournais les yeux, reardant un point dans le vide :

- il est très puissant ... mais il n'y a aucune trace de méchanceté dans son âme... mais d'après ce que tu m'as dit il a ordonné la mort de ton maitre .....

J'avais proposé mon aide à Moran maintenant il fallait que je termine que je l'amène à cette parsonne. Je me dégagais de ses mains, continuanat d'avancer, droit devant moi...
J'atteignis une clairière, je remarquai qu'un être encapuchonné se trouvais la au centre, une grande force psychique....

Moran était bien plus troublé qu'il ne le laissait paraitre. Aurait-il gâché sa vie pour une cause injuste? Serait-il devenu un assassin? Une fois encore il chassa ces pensées sombres et, le sang en ebbulition, il se tourna vers la silhouette encapuchonnée qu'Elendrile semblait désigner comme coupable. Il refoula sa rage, pour atteindre un moment un vide intérieur, avant de tout relacher. Il avança vers l'incconnu et ce dressa devant lui. Il annonça d'une voix glaciale :

- Je suis ici pour vous tuer. Tenez vous prêts !

L'homme afficha une expression de surprise intense, puis de compréhension, et enfin de résignation. Il dit à voix basse, tout en dégainant son épée :

-Attends ! Cela ne sert à rien, je vais t'expl...

Il fut coupé quand Moran dégaina son épée et relacha toute la furie qu'il avait emmagasiné pendant les cinquantes années qu'il avait passé à le chercher. Il para de justesse et se redressa avant de lancer un coup d'une vitesse phénoménale, que Moran eut tout juste le temps d'éviter. L'inconnu blessa Moran au bras et à la poitrine, mais il ne tomba pas. Il regardait l'inconnu d'un oeil hagard et perdu, mais il continuait inlassablement de parer et de tenter d'attaquer l'inconnu. La supériorité de l'inconnu à l'épée était incontestable, et Moran, s'il avait été dans un état normal, n'aurait jamais pu tenir plus de cinq minutes, mais il refusait d'abandonner. Il ne tomba que quand l'inconnu lui flanqua un coup d'épée dans les jambes. L'inconnu s'approcha, tout en laissant la gorge de Moran sous la menace de son épée :

-Tu vas m'écouter maintenant ! Je sais très bien qui tu est, mais toi, tu ne sais rien de moi. J'ai ordonné la mort de maître aux Tywas, c'est vrai, Mais qui est tu pour me juger ? Tu ne sais même pas quel homme était ton maître. Ce n'était pas un voleur, il est vrai mais il était bien pire : c'était un assassin. Et quand tu l'as rencontré, il essayait de vous former à en devenir à votre tour.

Il crachat, un air de dégout suspendu à son visage. Il fixa Moran un moment, puis reprit :

-Des gosses, voilà qui il avillissait, des gosses ! C'était tellement plus facile... Alors oui, je l'ai fait tuer, pour éviter une race de meurtriers un peu comme toi, mais qui, contrairement à toi, n'ont pas d'idéaux. Voilà ce que je voulait dire.

Il tendit à Moran son épée et lui fit signe de continuer le combat. Moran se releva, prit son épée. Son visage n'arborait plus aucune expression. Il attaqua, en se fendant de toute part, comme un homme qui n'a plus d'espoir. Mais il n'abandonnait pas. Son épée finit par trouver le chemin ver le coeur de l'incconnu. Le temps parut se figer. Moran fixa un moment l'homme qui avait brisé toute ses illusions. Il dit :

-J'avais juré de le venger. Et rien ne m'assure que ce que tu m'a dit est vrai.

Tandis que l'inconnu expirait son dernier souffle. Moran fit quelques pas dans la clairière. Puis, la douleur de ses blessures et de son desespoir aidant, il s'écroula sur place. Il tomba et fut soudaine secouer de sanglots, les sanglots qu'il n'avait jamais laissé s'exprimer depuis la mort de son maître

J'avais assisté à toue la scène s'en pouvoir faire quelque chose, l'inconnu avant de se battre, m'avait lancé un regard protecteur, comme s'il me connaissait et qu'il ne voulait pas que je m'interpose. Je restais figée sur place, épouvantée par la brutalité de la scène.
Quand je vis l'être s'écrouler, mon souffle fut coupé,je ne pouvais croire qu'un homme si sage, pouvait mourir. Je m'approchais lentement du corps inerte, un filet desang coulait de ses lèvres froides :

- il .. il est mort .... pouquoi l'as tu tué ?!

Je me dirigeais d'un pas rapide vers Moran, observant ses blessures, l'aidant à se relever, essuyant ses larmes.... Je réussi à la trianer jusqu'a un arbre ...Je jetais un dernier regard, vers l'inconnu. On était venu le déranger et en un instant sa vie de métis avait prit fin... sans que je puisse m'en empêcher, une marme coula de ma joue. Comme si j'avais perdu un être che à mes yeux.

Moran fut tiré de sa torpeur par Elendrile. Les yeux toujours remplis de larmes et la voix brisée, il répondit :

-J'avais fait le serment de venger mon maître. Ce serment était sans appel. Il n'y avait pas de conditions. J'ai passé cinquante ans à repecter ce serment et à rembourser ma dette envers mon maître. Même si cet être avait ses raisons, je devais respecter mon serment. Rien n'est plus sacré qu'un serment fait à un mort, car il n'est plus là pour t'obliger à le tenir. Voilà pourquoi je l'ai tué. Je n'y ai pris aucun plaisir, crois-moi. De plus, cet homme, l'homme que j'ai tué...Il voulait finir le combat. Il voulait, je le crois, voir , à travers moi, s'il aurait pu battre mon maître. La réponse aurait dû être oui, mais les chances ont été déjouée par mon état d'esprit. Personne ne combat mieux que quelqu'un qui voudrait être mort mais qui est déterminé à ne pas abandonner.

Il baissa la tête et s'assis en entourant les genoux de ses bras. Il se recroquevilla. Il était triste, mais n'éprouvait aucune honte. Il avait fait ce qui devait être. Cela ne c'était pas passé de la façon à laquelle il s'était attendu. Enfin ses sanglots se calmèrent. Il se mit à respirer, doucement et lentement. Sa haine l'avait enfin quitté.

Sans un mot je me dirigeais vers le corp de l'homme, devenu froid.. je m'accroupi devant lui, posant mes mains sur le sol, fermant les yeux toujours remplient de larmes. Des racine sortirent du sol et vinrent s'entrelacer pour former, un signe de reconnaissance... Je me relevais, chancelant légèrement, retournant au près de Moran :

- Qu'il soit bon au mauvais, il mérite un signe de reconnaissance pour ce qu'il a fait ...

Je remonta les jambes jusqu'à mon menton, restant fixée sur le coprt sans vie de l'elf, sans même savoir son prénom. J'avais remarqué qu'il possédait toujours cette marque sur la main, étrangement j'avais l'impression de l'avoir déjà vu. Instinctivement, je regarais mes poignets, et ouvrir des yeux écarquillés.. je possédais les me^me marque que lui ...

Moran suivit des yeux Elendrile. Il ne savait pas pourquoi, elle semblait s'être beaucoupa attaché à l'inconnu, qu'elle n'avait jamais connu. Il aperçut la mine effarée qu'elle arborrait, ses yeux passant des mains de l'homme aux siennes. Moran se leva et fit quelque pas, chancelant à cause de ses blessures, pour se rapprocher d'Elendrile. Il lui demanda :

-Qu'est-ce qu'il y a ? Tu connaissait cet homme ?

Il la regarda avec étonnement et inquétude. Qu'avait-elle? Quel était le problème ? Mais qu'avait-il donc fait ?

je fixais Moran de mes yeux bleu :

- nan je ne le conaissais pas.. mais j'avais cette impression que nous étions lié, c'est pour celma que je sentais si fort sa présence, regarde ...

Je tendis mes poignets à Moran pour qu'ils les observent de plus près. L'elf était aussi entré en enfer, et y avait survécu, ets'il possédait ces marque cela voulait dire qu'il n'était pas démoniaque, mais pure ...Je ne savais pas encore très bien à quoi pourrais me servir ces marque mais je commencais à comprendre leur signification.

Moran observa avec stupéfaction les marques sur les poignets d'Elendrile, puis sur ceux du mort. De ces marques, émanait une sensation étrange et effrayante. D'où pouvaient bien provenir ces marques ? Si elles étaient identiques, cela ne pouvait être un hasard. Que cela signifiait-il. Il regarda le mort avec un regard éperdu en pensant "quenous cachait-il donc ?". Il releva la tête et demanda à Elendrile :

-D'où te proviennent tes marques ?Et que signifient-elles?

Il était perdu. Il ne savait rien des gens qu'il rencontrait. Et même qu'il tuait. Que se passait-il autour de Auwris ? Il se rendit compte qu'il avait longtemps été aveugle à son environnement. Mais qu'était-il arrivé à son monde ?

J'avalais ma salive, me redressant contre l'arbre :

- ces marque survienne lorsqu'un être pure, non démoniaque, arrive à survivre en enfer. je suis allée en enfer, et j'en suis sortis indemne, seul quelques être y sont parvenus...elles nous relient avec l'enfer...et j'ai compris que quand un autre être portant ces marque se trouvent proche de nous, on le sent avec une extrême force...Je ne sais pas encore à quoi elles servent..

Je comprenais maintenant, la tristesse que j'avais ressenti lorsqu'il était mort, comme un vide immense, j' avais l'impression d'appartenir à une autre famille...

Moran lanca un regard éffaré à Elendrile. Mais qui était-elle? Qui pouvait bien aller dans enfers et en ressortir ? Quel lien pouvait donc relier cet homme et Elendrile, à part leur histoire? Il ne comprenait pas. Il ne savait rien. Il devait comprendre. Il demanda :

-Comment es-tu allée dans les enfers. Et surtout pourquoi ? Comment en est tu ressortie?

Je baissaiss la tête, seul Onyx et Vincent était au courant car ils étaient avec moi, je n'avais jamais parlé de cette période à quiconque :

- J'y suis allée pour sauver un être cher à mes yeux, je lui en avais faits la promesse, de le tirer des griffes de l'enfer. J'ai trouvé un passage dans le temple, et j'en suis ressortis de la même facon... néanmoins lorsque je suis sorties, ces marques sont apparues à mes poignets ... en temps normale un être vivant ne peu ressortir de l'enfer, je ne sais pas pourquoi moi j'ai réussis....

Je regardais le corps inerte de l'elf :

- je sais que nous n'avons aucun lien de sang, mais nous étions liés par ce que nous avons vécu, ....

Je me relevais, chancelante, me retenant à la branche basse d'un arbre.

Moran se précipita pour retenir Elendrile. Maintenent il comprenait. Elendrile était quelqu'un qui lui parraissait très étrange. Trouver un passage dans les enfers pour sauver de la mort un être cher... Voilà quel aurait pû être son propre serment, s'il avait été rompu aux arcanes de la magie. Heureusement, il ne l'était pas. Il était trop sauvage pour l'être. Si un quelconque pouvoir l'habitait, il ne pensait pas être capable de réfréner la rage que faisait monter en lui la mort et la menace. Mais son doute lui avait fait trop tôt apprendre à refréner cette rage, et il avait entendu les explications de l'homme. Il regarda Elendrile d'un air grave :

-Sais-tu ce qui fait qu'un être est capable de sortir des enfers ou non ? Je voudrais savoir qui était cet homme que j'ai abattu... Je voudrais savoir s'il était sincère...et s'il m'a dit là vérité.

Il jeta un regard au cadavre avec un air étrange. Il ne savait que penser. Il murmura d'un ton étrange, en s'adressant au mort :

- Je suis désolé...Cela devait être.

Je reprenais mes esprits :

- non je ne sais pas.... je ne comprends toujours pas pourquoi moi je possèdd ces marques, j'ai faits des choses bine pires que de tuer quelqu'un ... et pourtant elle n'aparaissent qu'aux êtres purs ...

Je me retournais vers le village de Baya, il était calme et tranquille vu de l'extérieur :

- si tu veux vraiment savoir qui il était va au temple, tu trouveras surement ce que tu cherches, je peux t'accompagner jusqu'à l'entrée de ce dernier ....

Je pris une grande inspirtaion, commencant à marcher vers l'entrée de Baya...

Moran regarda Elendrile un moment et s'approcha en disant :

- Je veux bien aller là-bas. Il faut que je comprenne. Ma vie ne pourra reprendre qu'à partir du moment où je connaitrait toute l'histoire. Ces marques laissent à réfléchir sur la définition des êtres purs...Peut-être est-ce que ces êtres sont justes ceux qui ,quand ils tuent, n'en prennent aucun plaisir, ou savent toujours à quoi cela sert. Ou alors peut-être que ce sont les êtres qui ont eu le courage d'aller aux enfers pour quelqu'un d'autres qu'eux-même...

La vraie pureté, telle que la voudraient les hommes n'existait pas. Cette valeur ne pouvait qu'être comparée au mal. Ce qui ne lui donnait aucune signification propre. Il se mit à marcher à coté d'Elendrile et ils quittèrent Baya sous le regard haineux de ses habitants.

( j'ouvre le topic au temple )