Travaux illégaux...

Le Borgne a écrit:

	Cherche employés pour quelques petits boulot dont j'aurai seul la connaissances... * Tueur à gages 250 kenjis en moyenne par tâches accomplies * Voleur 200 kenjis en moyenne par tâches accomplies * Espion-traître 230 kenjis en moyenne par tâches accomplies

Invité

Je veux etre tueuse a gage :D

Le Borgne s'avança vers la nouvelle venue et la regarda de haut en bas de son unique oeil.

- T'es sûre de faire l'affaire?
J'te sens plutôt toute menue.

Invité

Theira resta calme et sourit diaboliquement au borgne.
Je pense faire l'affaire..
Comme on dit..ses pas l'habit qui fait le moine..

Le Borgne la regarda d'un air surpris. Puis il renchérit d'un ton sadique:

- Alors je vous mets à l'essai. J'aimerais que vous me ramenier un de ces "héros"... mort ou vif, cela m'est égal.

Invité

Theira se crispa sur le mot héros, mais resta impassible pour le borgne.
D'accord..
Je ne risque pas de vous en amenner un avant au moins 3 ou 4 jours..
Mais vous l'aurais..
Theira sortis d'un pas vite de la piéce.

Invité

Une jeune femme d'un extreme beauté entra dans la piéce.
Bonjour...
Auriez vous encore besoin d'une tueuse a gage?
Elle sourit pour envouter le borgne.

Le Borgne la dévisagea rapidement.

- Une belle vampire dans la troupe! Bien évidemment chérie c'est quand tu veux! Va voir avec l'autre p'tite, m'étonnerait pas qu'elle ait besoin d'aide... Vous aurez le même salaire.

Invité

Mystic sourit au borgne.
Merci mon brave..
Mystic pensa que l'autre devais surement etre une pauvre fille qui ne sait a peine utiliser ses pouvoir.
Aurevoir...
Mystic passa la porte et disaprut dans la foule de la rue.

Un homme dans un long manteau rouge vif et au teint maladif entra dans la pièce. Après un coup d'oeil froid au alentour Vincent s,avanca sans trop savoir a qui demander des informations.

Le Borgne s'approcha du nouveau venu d'un pas claudiquant mais assuré.
L'écho de sa canne frappant le sol à coups brusques se répercutait dans toute la misérable pièce qui lui servait d'abri, au sous-sol du Comité des Chasseurs de Primes qui, bien évidemment, ne se doutaient de rien.

- Un renseignement, gamin?

Sa voix était rude et rocailleuse, comme aiguisée. Il se pencha vers le jeune homme, le scrutant de son unique oeil noir et glacial.

Vincent se tourna vers l'homme qui lui avait parler, un veilliard qui le regardait avec froideur, Vincent ne réagis pas, il était la pour un travaille qui payait bien.

"Je chercher un employ..."dit 'il d,un voix froide.

La porte s'ouvrit et une femme magnifique entra. Elle portait une robe en cuir et les cheveux longs roux bruns. Démona s'approcha vers le comptoir en balançant ses hanches.

"Est-ce bien ici que l'on peut devenir une Traîtresse ? Demanda-t-elle d'un air sournois."

Vincent attendait un réponse cet homme agé qui semblait être un peu sourd, Vincent le regardait froidment même si lui avait la bonne excuse d'être vieux. Puis Vincent entendis la porte s'ouvirir de nouveau, il se retourna et apercu une ravisante femme passer la porte et entrer.

"Est-ce bien ici que l'on peut devenir une Traîtresse ?

Vincent la regarda et dicida de lui répondre puis qu'elle n,aurait pas de réponse rapide du vielle homme.

"Oui c'est ici..."dit t'il simplement

Démona dévisagea immédiatement son interlocuteur. Elle le regarda avec des yeux froids. Puis, elle finit par sourire méchament, comme pour se foutre de lui.

"C'est vous qui vous occupez de cette baraque et de l'affiche pendue ?"

Démona n'avait jamais hésité à lâcher des mots horrible, blessants ou autres. Depuis qu'elle vendue son âme au diable, plus rien de bien l'intéressait. Elle préférait le mal absolu et la souffrance à la bonté et la pitié.

Les traits de Vincent se durcir aussitôt et ses yeux s'éluminère d'un éclat rouge vif montrant qu'il n,était pas d'humeur a jouer au plus fin avec elle.

"Non ce n,est pas moi le propriétait de cette endroit c,est lui"dit t'il en pointant l'home du pouce"Je viens pour un employ comme vous..."ajouta t'il d'un ton sanglant

Vincent la regarda sans dire autre chose, croisant ses bras le dos raide comme un arc.

Démona jeta son regard noir sur le le borgne. Puis observa plus attentivement le jeune homme devant elle. Elle s'approcha de lui, le fixant dans les yeux.

"Dis-moi... vu ton allure et ta mine froide, ne serais-tu pas Vincent par hasard ? Le Seigneur du mal ?"

Vincent l'obcervait aussi soutenant son regard sans sourciller, il ne réagi pas en entendant prononcer son nom mais eu un sourire satique quand elle dit le seiguer du mal.

"Je suis déja connu des gens que c'est charmant j'en suis flatter"dit t'il en inclinant la la tête."Et a qui es-je l'honneur?"

Démona sourti sournoisement et s'approcha tellement près de Vincent qu'on aurait dit qu'elle l'embrassait.

"Je m'appelle Démona..."

Démona n'avait jamais vraiment touché aux hommes depuis qu'elle était une sorcière noire. Elle ne les tuait que si ceux-ci la génaient. Par contre, quand elle croisait une femme à la beauté magnifique, elle n'hésitait pas à l'assassiner pour lui voler sa beauté. De la sorte, elle ne devait sa beauté à elle qu'aux femmes qu'elle tuait. Son vrai visage, personne ne le connaissait.

Le Borgne s'était assis, suivant chaque instant de cette ardente conversation.
Il adorait observer les autres se disputer... mieux encore: s'entretuer.
Mais ces deux jeunes imbéciles étaient là pour du boulot.

- Oui, c'est ici que tu peux honorer ta pauvre race en deveant traître à ton tour, lança-t-il d'un ton cinglant à la belle femme.

"Je m'appelle Démona..."

Cette phrase résonna un long moment dans la tête de Vincent qui la regardait de très prèt puisqu'elle s,était beaucoup approcher, sur le coup il avait pensé qu'elle voulait l'embrasser ou quelque chose du genre..le mordre peu être. Alors s'était cette femme la meurtrière du père de Crysta, cette femme elle était forte Vincent le sentait, il se retint de reuler d,un pas car sa aurait eu l'effet qu'elle croir qu,il avait peur d'elle et se n,était pas le cas mais il craingnait aussi que Crysta n'entre subitent dans la pièce en le suprenant dans ses positions. Mias Vincent ne voulait pas paraitre faible devant t'elle il était maintenant le segneur du mal après tout.

"Joli prénom...enchanter..."se comtenta t'il de dire.

Il se demanda aussi comment il alalit faire pour le cahcer a Crysta il ne voulait pas lui mentir mias il ne voulait pas qu'elle se face tuer non plus.

Démona contiua à le fixait, le regardant alternativement dans chaque oeil. Puis elle ferma les yeux et s'écarta de lui en retournant au comptoir sur lequel elle s'assit sans gène.

"Seigneur... ou mon Roi... Pourtant tu n'as pas vraiment l'air d'un seigneur digne de ce nom. Quoique les apparences sont parfois trompeuses... Et désormais je suis obligée de te soumettre mes services si je veux retrouver celle que je veux assassiner à tout prix et qui se trouve en ce moment dans les alentours."

Elle passa ensuite sa main de ses longs cheveux, les faisant valser.

Vincent fut soulager qu'elle s'écarte pour aller s'asseoir sur le comptoir, li ne bougeait pas.

"Seigueur fera l'affaire...alors tu fait parti de ceux qui sont sous mes ordres...quel chance "dit t'il d'un ton toujours aussi froid.

Vincent était puissant même si il n'en avait pas l'air et elle avait raison de ne pas se fier au apparence. Vincent resta la fixant la femme qui semblait avoir une très haute estime de sa beauté, beauté qui laicait Vincent de glace.

Démona sourit malicieusement puis se tourna vers le borgne.

"J'espère être bien payée, sinon ce sera toi qui sera trahis !"

Elle descendit alors du comptoir et alla vers Vincent.

"A bientôt... mon Seigneur..."

Elle se dirigea ensuite vers la sortie et quitta la baraque en claquant la porte.

Vincent la regarda partir sans rien dire étant seigneur du mal il fallait s,attendre a avoir des gens cruelle a son servise mais la pensé lui vint qu'il l'était aussi, aussi cruelle qu'eux. Vincent se retourna ves le borgne en soupirant.

"Je prendrait le travaille qui paye le mieux je vous prit...2

Vincent avait en tête de se payer une chemise neuv, une épée et autre chose qu,il gardait pour lui, il ne savait pas encore.

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