Promenade ( partie 1 )

Je regardais tout autour de mo, les Tywas arrivaient de toute part, j'accouru aux côtés de Moran, maintenant sans armes, je fermais les yeux oubliant les monstres arrivant droit sur nous. Je serrais les poings, ne fesant qu'un avec la forêt. D'immense racine dure sortirent de terre et s'enroulèrent autour des Tywas les bloquant, elles ne pouvaient plus nous atteindre, emprisonnées dans les racines épaisses. Fatiguée par la force que j'avais du fournir, je tombais à genou, rouvrant les yeux. Les monstres se débattaient, incapable de se sortirent de leur liens :

- sa va ?

Je tendis une main, ramassant l'épée de l'elf et la lui tendant.

Moran hocha silencieusement la tête et repris son épée sans quitter Elendrile des yeux. Il demanda :

-Comment tu fais ça ?

Mais il fut coupé par l'arrivée d'une autre Tywa, bien plus grande que les autres, et pourvu d'une longue paire d'ailes. Il frémit. Il savait ce que cela voulait dire. Il n'avait combattu que peu de fois ces Tywas sipérieures aux autres, mais, à chaque fois, il ne s'en était sorti que de peu. Il se redressa et rafermit sa prise sur son épée, se préparant à l'assaut. tout en parant les attaques de son adversaire, il fixa ses prunelles rouges. Il fut pris d'un violent tremblement, et libéra soudain toute son énérgie, la focalisant dans son épée. Il fit tomber à terre son adversaire, en lui brisant une aile. Toute en le gardant sous la menace de son épée, il demanda à Elendrile :

-Que fait-on maintenant ?

Je m'approchais de Moran, qui tenait la Tywas :

- j'ai appris à controler la forêt ... mais se serais trop long pour t'expliquer.... celle-ci m'a l'air d'en savoir beaucoup, elle est supérieur aux autres. Questionne là .. si elle ne te dévoile rien je ferais le reste ...

La Tywas se débattait, poussant des cris de douleur à cause de son aile brisée. Je sentais une rage intense, une envie de tuer immense comme si elle ne vivait que pour cela... Les autres Tywas toujours emprisonnées dans les racines poussaient elle aussi des cris perçant, donnant quelques vertiges...

Moran se retourna vers la Tywa, son épée toujours pointée sur elle. Il déclara d'une voix glaciale :

-Tu sais qui je suis. Je veux savoir qui a ordonné la mort de mon maître. Et je veux que tu me le dises maintenant. Je n'ai pas beaucoup de temps à perdre, mais je pourrai toujours te torturer très simplement et assez longuement pour que tu ait tout le temps de regretter une réponse négative. Si tu me répond, peut-être auras-tu la vie sauve, qui sait ?

La Tywa lui renvoya un regard innexpressif avant de dire un "Je ne dirai rien" atone. Moran s'agenouilla et commença à couper l'aile de sa victime à l'aide de son épée, très lentement. La créature ne dénia emmettre aucun son, tandis qu'elle regarder une gigantesque flaque de sang se former à ses pieds.. Puis, Moran déclara :

-Si je lui arrache l'autre aile, elle va perdre tout son sang. Et elle mourra. Je pense qu'elle est insensibilisée à la douleur. Ou qu'une chose bien pire la menaçe... A mon avis, cela ne sert à rien. Pourrais-tu essayer à ton tour, je te prie?

Je me mis en face de la créature, la calan avec mes jambes. Elle me fixais d'un regard étrange, presque effrayée, se débattant avec les peu de force qui lui restait. Je la fixais droit dans les yeux, ne disant aucun mot, me concentrant sur son esprit. Elle avait peur, je le sentais, jamai encore on ne lui avait fait une chose pareille, rentrer ainsi dans son esprit, le lire sans qu'elle ne puisse rien y faire.
Dans l'une des pensées je voyais distinctement, un homme emcapuchoné, de la taille d'un humain, mais des oreilles d'elfe dépassées... il se trouvait dans la forêt, une autre partie de la forêt, entouré de Tywas, qui lui obéissaient au doigt et à l'oeil. Je la fixais toujours droit dans les yeux, une peur intense se dessiné nettement. Je souriais, j'avais trouvé ce que je voulais......
Je me relevais et d'un geste rapide, une racine vint s'enrouler autour de son cou, abrégeant ses souffrances....

- je sais .....

Moran avait remarqué l'échange silencieux qui s'était produit entre Elendrile et la Tywa. Apparemment, l'elfe avait obtenu les réponses qu'elle souhaitait, car elle avait achevé la créature. Il sentit une vague d'exitation et un tressaillement d'impatience l'envahir. Ce pour quoi il avait vécu pendant ces cinquante dernières années étaient sur le point de s'achever. Il avait suffit d'une simple rencontre pour résoudre le problème de l'identité de son ennemi. Il demanda d'un ton pressant :

-Alors ?

UN sourire se dessina sur mon visage :

- c'est un métisse, mi-homme, mi-elf ... il vit dans le village des hommes ...

Je marchais en direction de la sortie sombre de la forêt, pressant le pas, pensant que d'autre Tywas rodaient surement encore dans les parages.

L'esprit de Moran était en pleine ebbuliton. Une joie sauvage s'était emparée de lui. Sa vengeance allait enfin avoir lieu. Il allait savoir pourquoi et obtenir ce qu'il avait cherché pendant cinquante ans. Il allait enfin pouvoir revivre. Son serment de vengeance lui avait fait oublier ce que c'était de vivre tellement son accomplissement était inespéré. Soudain, le doute l'envahit. Il pensa à une chose qu'il n'avait jamais envisagée auparavent : et si la cause de son maitre n'était pas juste? et s'il avait vraiment mérité de mourir ? Il chassa ces sombres pensées, en se traitant de traitre, de parjure et de lâche. Ne pensait-il pas à cela juste pour éviter un combat dont l'issue était incertaine? Il rejoignit Elendrile et lui demanda :

-Mais qui est-il ?

Je marchias droit de vant, reprenant peu à peu mes esprits, écratant les branches des arbres qui se trouvaient devant moi :

- je ne sais pas son nom, la Tywas elle même ne le savais pas, mais nous le retrouverons, il à une marque étrange sur la main, un tatouage je ne sais pas. Mais cela ne passe pas inapercue, nous devons allé dans le village des hommes.

Je n'aimais guerre y aller, la-bas les lef étaient percu comme de la marchandise ou des ennemis, il n'était pas rare que des hommes et des elfs se battent entre eux dans cette région.

Le visage de Moran se ferma aussitôt. Il commença à réfléchir pour savoir si avait cinnu quelqu'un avec un signe sur le visage, mais non. Bien que ces souvenir datent un peu, il avait toujours essayé de les conserver dans l'espoir de reconnaitre l'assassin. Mais peut-être que les choses avaient changé. Une lueur assassine brillait dans ses yeux, mais il se promit de contrôler tant qu'il le pourrait. Il repira profondément en fermant les yeux. Il reprit sa marche et il retrouva Elendrile arrêtée. Ils étaient arrivés dans le village des hommes. D'une voix rauque, Moran demanda :

-Où est-il?

( euhhh le village des hommes c'est Baya faut qu'on change de lieu ^^ )